19 mars 2008

Le Parisien du 19 mars 2008 : Nouveau recours contre le projet du grand hôpital

Nouveau recours contre le projet du grand hôpital
Pascal Villebeuf | Publié le 19.03.2008

LA POLÉMIQUE est relancée. Le projet du grand hôpital de Fontainebleau, qui doit s'implanter sur un ancien terrain militaire dans le quartier du Bréau, est de nouveau au coeur des querelles. La communauté de communes de Fontainebleau-Avon, qui gère ce dossier, vient de recevoir un recours hostile.

Le dossier a été déposé au tribunal administratif de Melun par trois personnes, dont le président du comité de défense d'Avon, Philippe-Thomas Derevoge. Ce recours vise la délibération du 19 décembre dernier de la communauté de communes de Fontainebleau-Avon, qui autorise son président, Jean-Pierre Le Poulain (UMP), à acheter à l'Etat les 10,4 ha de terrain pour construire le nouvel hôpital. Un projet qui doit normalement être approuvé par le ministère de la Santé à la mi-avril et dont le coût est estimé à 151 M €

Deux études qui n'auraient pas été réalisées

L'opposition à ce projet n'est pas nouvelle. C'est le cinquième recours déposé depuis 2005. Au départ, les protestataires s'appuyaient sur un ancien décret du président Sadi Carnot, qui imposait que les terrains militaires pris au domaine forestier lui soit rendu. Mais aucun jugement n'a confirmé ce décret. A présent, les critiques se font plus précises.

« Le projet de reconstruction de l'hôpital aurait nécessité deux études qui n'ont pas été réalisées, explique Philippe-Thomas Derevoge. D'abord, savoir s'il était possible de le reconstruire sur l'actuel emplacement du centre hospitalier. Si c'est vraiment impossible, il faut lancer une étude d'impact sur le projet prévu au Bréau. On prévoit pour ce nouvel hôpital un parking de 1 000 places, tout cela à proximité des jardins du château et du quartier classé des Héronnières. Cela va défigurer le quartier et avoir des répercussions sur la tranquillité des riverains et sur l'image touristique de la ville. »

Ce recours met en colère Jean-Pierre Le Poulain, président de la communauté de communes. « C'est une opposition politique. Si l'implantation est prévue au Bréau, c'est que le dossier soutenu par l'agence régionale d'hospitalisation prévoit un bâtiment commun à l'hôpital et à la polyclinique. Et donc un terrain beaucoup plus important que l'actuel site de 4 ha. De plus, le projet prévoit un désengorgement du quartier, avec la création d'une nouvelle artère en direction de l'ex-N 6. » Le maire de Fontainebleau, Frédéric Valletoux, minimise ce recours. « Il n'est pas suspensif. Mais, de toute façon, la reconstruction sur place est impossible. »
Le Parisien

Presse : Nouveau recours contre le projet de grand hôpital


Nouveau recours contre le projet du grand hôpital
Publié le 19.03.2008

       LA POLÉMIQUE est relancée. Le projet du grand hôpital de Fontainebleau, qui doit s'implanter sur un ancien terrain militaire dans le quartier du Bréau, est de nouveau au coeur des querelles. La communauté de communes de Fontainebleau-Avon, qui gère ce dossier, vient de recevoir un recours hostile.

Le dossier a été déposé au tribunal administratif de Melun par trois personnes, dont le président du comité de défense d'Avon, Philippe-Thomas Derevoge. Ce recours vise la délibération du 19 décembre dernier de la communauté de communes de Fontainebleau-Avon, qui autorise son président, Jean-Pierre Le Poulain (UMP), à acheter à l'Etat les 10,4 ha de terrain pour construire le nouvel hôpital. Un projet qui doit normalement être approuvé par le ministère de la Santé à la mi-avril et dont le coût est estimé à 151 M €

Deux études qui n'auraient pas été réalisées

L'opposition à ce projet n'est pas nouvelle. C'est le cinquième recours déposé depuis 2005. Au départ, les protestataires s'appuyaient sur un ancien décret du président Sadi Carnot, qui imposait que les terrains militaires pris au domaine forestier lui soit rendu. Mais aucun jugement n'a confirmé ce décret. A présent, les critiques se font plus précises.

« Le projet de reconstruction de l'hôpital aurait nécessité deux études qui n'ont pas été réalisées, explique Philippe-Thomas Derevoge. D'abord, savoir s'il était possible de le reconstruire sur l'actuel emplacement du centre hospitalier. Si c'est vraiment impossible, il faut lancer une étude d'impact sur le projet prévu au Bréau. On prévoit pour ce nouvel hôpital un parking de 1 000 places, tout cela à proximité des jardins du château et du quartier classé des Héronnières. Cela va défigurer le quartier et avoir des répercussions sur la tranquillité des riverains et sur l'image touristique de la ville. »

Ce recours met en colère Jean-Pierre Le Poulain, président de la communauté de communes. « C'est une opposition politique. Si l'implantation est prévue au Bréau, c'est que le dossier soutenu par l'agence régionale d'hospitalisation prévoit un bâtiment commun à l'hôpital et à la polyclinique. Et donc un terrain beaucoup plus important que l'actuel site de 4 ha. De plus, le projet prévoit un désengorgement du quartier, avec la création d'une nouvelle artère en direction de l'ex-N 6. » Le maire de Fontainebleau, Frédéric Valletoux, minimise ce recours. « Il n'est pas suspensif. Mais, de toute façon, la reconstruction sur place est impossible. »
Le Parisien

15 février 2008

Observations sur le projet de station d'épuration du 15 février 2008

Cdas  COMITE DE DEFENSE, D’ACTION ET DE SAUVEGARDE D’ AVON
Association agréée   art. L141-1 Code de l'environnement : arrêté préfectoral du 16 septembre 1991
Adresse postale : CDAS d’Avon, case 18  Maison dans la Vallée,  1 rue Lola Dommange  77 210  Avon


OBSERVATIONS DU CDAS d'AVON
SUR LE PROJET DE STATION D’ ÉPURATION
 soumis à enquête publique du 17 janvier au 16 février 2008

Sur l’absence de solutions alternatives :
Le décret n° 93-245du 25 février 1973 et sa circulaire d’application n° 93-73 du 27 septembre 1973 font obligation au maître d’ouvrage, dans les enquêtes publiques, de « mettre en évidence plusieurs options ou partis de réalisation et d’exploitation de son projet. Selon les cas, ces options concerneront différentes possibilités d’implantation  du projet, (…), le recours à des procédés différents ». Sinon, il doit justifier l’absence de variantes.
Or, qu’il s’agisse de l’implantation ou du choix de la technique, tout est présenté comme allant de soi et ne souffrant aucune discussion.

Sur l’implantation choisie :
L’implantation choisie, en amont de la station actuelle, pose plusieurs problèmes :
-  zone inconstructible selon le PPRI,
-  ne respecte pas la distance de 50 mètres d’un massif boisé de plus de 100 ha,
-  site protégé : l’ABF a-t-il donné son accord ?
-  et, du point de vue écoulement des crues, rétrécissement du lit du fleuve, d’où, comme conséquence, le renvoi du courant principal vers la rive droite.
D’après un ingénieur des Mines que nous avons consulté, le creusement, à l’emplacement de la station actuelle d’un « trou » de 8 500 m3 n’aura aucun impact favorable : cela correspond à 8 secondes de débit de crues. Le « trou » sera rempli en quelques minutes et ensuite n’aura plus d’utilité.
Ajoutons que cet arasement se situe à l’emplacement qui avait été promis aux associations (mais l’éventualité d’une base nautique ne figurerait pas au cahier des charges ! ) pour y reloger les installations nécessaires à leurs activités nautiques. Les prochaines installations devront-elles être sur pilotis, et à quel niveau ?

Sur la technique choisie :
Notre association n’a pas les moyens de juger. Mais il aurait été bon que le document nous dise si cette technique peut évoluer vers l’élimination des produits pharmaceutiques présents dans les eaux usées et comment, lorsque cela deviendra obligatoire, dans quelques années.

Sur les coûts :
S’agissant d’une technique nouvelle, tous ceux qui ont travaillé dans l’industrie savent qu’il y a une phase d’ « essuyage des plâtres ». Quelle garantie la CCFA a-t-elle de ne pas répéter l’affaire de la géothermie de Fontainebleau ?
Notre association, de toute façon, ne peut qu’être hostile au transport de 8 500 m3 de gravats par camions dans un secteur où la sécurité est déjà limite. Nous privilégions une évacuation par barges.
Sur le coût d’exploitation, on sait que ce sera plus cher (de 20 à 100 %) que les solutions traditionnelles.
Il aurait été bon que le dossier offre un comparatif de ces coûts.

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Avon, le 15 février 2008
Pour le bureau du CDAS d’Avon,

21 août 2007

ECOUTE DU BRAME

INSCRIPTION à la soirée ‘brame’ du 14 septembre 2007

Le CDAS organise un dîner dans une auberge de la forêt le vendredi 14 septembre. Le dîner sera suivi de l'écoute du brâme en forêt. Inscription obligatoire suivant modèle ci dessous. Non adhérents bienvenus.

NOM : Téléphone : de h. à h.
ou courriel :
Repas : j’inscris …. personnes pour le repas au Chalet de la Caverne.
Ci-joint chèque de 17 x … = euros, à l’ordre du CDAS d’Avon


Brame :
□ NON : nous n’assisterons pas au brame
□ OUI : nous assisterons au brame

Co-voiturage :
□ j’irai avec mon véhicule et dispose de … places libres.
□ nous acceptons d’être voituré(e)s et attendrons,
à 19 h 40 à l’adresse suivante, où il est facile de s’arrêter à cette heure :


à retourner au plus tard le 6 septembre 2007 (date de la Poste)
à Ph. Thomas-Derevoge, 69 bis av. Fr. Roosevelt, 77 210 AVON
téléphone : 01 60 71 18 49

09 février 2007

ASSEMBLEE GENERALE

A.G. du CDAS d’Avon

L’assemblée générale ordinaire
du Comité de Défense,d’Action et de Sauvegarde d’Avon
aura lieu

le samedi 24 mars 2007, de 15 h 30 à 18 h 00,
salle de la cheminée, à la Maison dans la Vallée, à Avon.

Vous vous intéressez aux problèmes d’urbanisme, de stationnement, de circulation (y compris les circulations douces), à la lutte contre toutes les formes de pollution ou à la protection du cadre de vie, alors, venez participer à la discussion. Entrée libre.

27 novembre 2006

Droit de réponse du 27 novembre 2006

Droits de réponse de Philippe Thomas-Derevoge, président du CDAS d’Avon, à l’article de la République du 27 novembre 2006 et aux commentaires de Monsieur Le Poulain.

Au sujet du compte rendu de la réunion sur l’axe Leclerc-Roosevelt-de Gaulle :
J’ai été surpris de lire, dans votre article, des souhaits ou des paroles qui me sont attribués et qui ne correspondent ni à mes idées, ni aux propos que j’ai tenus.
Mon intention n’a jamais été de débattre en public avec Monsieur Le Poulain. Le CDAS l’a invité par courtoisie, comme il l’a fait pour le Maire de Fontainebleau. Ce dernier s’est excusé, poliment. Quant au maire d’Avon, nous savions qu’il se déroberait : enfermé dans ses convictions et refusant toute forme de débat, il ne répond même pas aux courriers qui lui sont adressés. Mon intention était de dialoguer avec le public, sur le thème du futur Plan Local de Déplacements. Elle était de lui soumettre différents projets. Cet échange a bien eu lieu, avec 48 personnes présentes (et non pas 35, comme vous l’écrivez) : les questions ont été plus nombreuses et plus riches qu’à l’ordinaire. Nous remercions leurs auteurs ainsi que les 36 personnes qui ont signé un texte de soutien à nos positions. Votre titre « le débat tourne court » et  le terme de « monologue », pour désigner l’exposé du contenu du Plan Local de Déplacements, ne traduisent en aucune façon la réalité de cette réunion.
Contrairement à vos affirmations je n’ai jamais prétendu rechercher la polémique. L’amélioration de la sécurité des piétons, des personnes à mobilité réduite, des cyclistes, qui est le principal objet de notre action, ne doit pas être polémique mais, tout au contraire, elle doit être consensuelle, dans un contexte politique où la raison domine les débats.
Enfin nous n’avons pas été déçus de la participation des Avonnais et des Bellifontains puisqu’il ne restait plus une chaise vide.
Au sujet de la réaction de Jean-Pierre Le Poulain :
Le CDAS d’Avon ne représente aucun parti politique. Ses adhérents, y compris ses dirigeants, son libres de leurs choix politiques. Son Conseil d’Administration réunit des membres de différentes sensibilités. Ils font équipe en toute amitié pour soutenir des convictions et des engagements qui sont indépendants de tout esprit partisan, au sens politique du terme.
Il faudrait être sectaire ou mal informé pour prétendre que le CDAS d’Avon est nécessairement « une courroie de transmission » du PS, simplement parce qu’il compte des membres de ce parti dans son organisation.
Il faudrait être un homme de droite indifférent aux thèmes de la sécurité des piétons et cyclistes, de la protection de la nature et du patrimoine, ceux que le CDAS d’Avon a pour mission de défendre, pour prétendre que ces préoccupations sont  l’apanage de la gauche.
Ces raisonnements sont pourtant ceux de Jean-Pierre Le Poulain, le Maire d’Avon. Pourquoi les tient-il, s’il n’est ni sectaire, ni mal informé, ni indifférent aux vraies questions de notre temps? C’est bien sûr pour diviser et mieux régner. En collant une étiquette PS sur le dos du CDAS, il sait qu’il le prive d’une partie de son auditoire, qu’il affaiblit ses positions. C’est de toute évidence le but recherché. Ce recours à des contre-vérités est-il bien loyal? Ceux qui soutiennent le CDAS, et leur nombre mérite qu’ils soient écoutés, le déplorent, quelle que soit leur appartenance politique.
Quant au projet de Plan Local de Déplacements, il est inexact de dire qu’il a déjà fait l’objet de débats publics. Le document n’existe que depuis cet été et, avant l’article de la République du 20 et la réunion du CDAS le 22 novembre, les habitants en ignoraient le contenu.
Enfin il faut mettre un terme à une argumentation malveillante : notre recours de 1999, contre un POS que nous  jugeons toujours irrespectueux de notre cadre de vie, a effectivement été rejeté. Mais le Tribunal Administratif nous a donné raison, contre Jean-Pierre Le Poulain, dans des circonstances plus récentes, à propos du POS et des terrains militaires. Celui qui invoque ses victoires doit aussi savoir admettre ses échecs. C’est une qualité qui s’appelle le « fair-play ».
Philippe Thomas-Derevoge
Président du CDAS d’Avon

Le débat sur l'axe économique tourne court


21 novembre 2006

AVENUE FRANKLIN-ROOSEVELT

Réunion publique avec les élus, MDLV, mercredi 20H30

01 octobre 2006

Fontainebleau continue à grignoter la forêt



Liaison
 

                    
                    
octobre 2006
                
 


Seine-et-Marne
Fontainebleau continue à grignoter la forêt

Située dans une clairière du massif domanial l'agglomération Fontainebleau- Avon a régulièrement grignoté la forêt : installations sportives sous convention d'occupation théoriquement précaire, construction d'un lycée-collège, d'une école de management et d'un IUT, construit illégalement. A chaque opération, échange de terrains : des parcelles boisées privées en lisière extérieure de forêt venant compenser au décuple les parcelles livrées à la construction en lisière interne. Si la forêt domaniale s'est ainsi agrandie, le massif forestier, s'est trouvé amputé à chaque fois.

Au sud de l'agglomération de Fontainebleau une caserne jouxte le parc du Château. Depuis la dernière guerre elle a été agrandie de plus de 50 hectares attribués sans contrepartie à l'OTAN puis à l'Ecole interarmées des sports et au Centre des archives contemporaines. De plus une parcelle forestière voisine de 14 ha, a été prêtée par le ministère de l'Agriculture au ministère de la Guerre en 1891. Le décret signé par le Président Carnot fait référence à un accord entre les ministères disant "qu’en cas d'abandon de tout ou parties des surfaces affectées, le terrain fera retour de plein droit à l'administration forestière, ... le reboisement en sera exécuté par les soins du service forestier aux frais du département de la Guerre". Depuis, une petite partie en a été attribuée définitivement à l'Armée en 1935 pour y construire des logements, actuellement propriété d'une société d'HLM. Mais, qu'advient-il du reste dont le ministère de la Défense n'a plus besoin ? Une partie, désaffectée en 2001, contient un hangar utilisé comme salle de spectacles par la ville de Fontainebleau pendant la réfection du théâtre municipal, et, une seconde halle fermée, que la ville veut utiliser pour ses ateliers techniques. La curiosité est que la ville paie un loyer à l'Armée, qui n'en est légalement plus propriétaire !

Spéculation immobilière
La seconde partie, la plus vaste, sur laquelle sont bâtis des hangars ouverts, est celle qui fait le plus parler d'elle. Depuis 1999, l'Armée veut la vendre à la Communauté de communes : à cette époque, l'utilisation envisagée était une pépinière d'entreprises. Il a fallu six ans à l'Armée pour admettre qu'elle n'était pas propriétaire, en vertu du décret Carnot. Qu'à cela ne tienne, le préfet a signé le 3 mai 2006 un arrêté qui affecte ces terrains au ministère de la Défense (qui n'en a pas besoin, si ce n'est pour renflouer ses caisses en les vendant ! ) et affecte au ministère de l'agriculture d'anciens terrains de manœuvres, dont l'armée n'a plus besoin, situés dans la forêt des Trois pignons). Il s'agit d'un échange ... de pure spéculation immobilière, qu'on essaie d'habiller d'intérêt général en faisant miroiter le projet de construction d'un hôpital.
Situé au nord de l'agglomération, facile d'accès, l'hôpital actuel y est voisin d'une polyclinique privée, qui envisage un partenariat public-privé, ainsi que de nombre d'installations à vocation sanitaire et sociale (IRM, maisons de retraite, etc.), et ... voisin aussi de deux anciennes casernes désaffectées par le ministère de la Défense et qui se prêteraient parfaitement à la restructuration de l'hôpital. Mais l'Armée veut vendre ses terrains au prix fort. La ministre s'est même engagée à financer l'étude d'urbanisme qui aboutira à obtenir la meilleure rentabilité (sans annoncer officiellement que ce ne peut être que des logements haut de gamme). Le maire de Fontainebleau est sur la même ligne : seule la parcelle forestière convient, selon lui, pour reconstruire (sur fonds privés) le futur hôpital qui comprendra une partie publique et une partie privée, attribuée à l'actuelle polyclinique. Honni soit qui mal y pense !
Les associations qui se battent pour l'application stricte du décret Carnot sont qualifiées de ringardes. Elles ont pourtant déjà obtenu que l'administration prenne en compte ce décret. L'arrêté du 3 mai 2006 est une façon de le contourner. A nous de prouver qu'il est illégal, et attentatoire au site du château et à son écrin forestier.

Jean Vuaillat,
Secrétaire général,
Comité de Défense, d'Action et de Sauvegarde d'Avon,
CDAS Avon,
rue du Vieux Rû, boîte 18,
77210 Avon.
Tél. : 01 60 71 18 49.

29 septembre 2006

30 ANS DU CDAS


30 ans ça compte, 30 ans ça se fête!

La commémoration de l'anniversaire des 30 ans de la création du CDAS s'est tenu le soir du vendredi 29 septembre 2006 au Chalet de la Caverne (Carrefour du Bas Bréau près de Barbizon), son gérant en soit remercié.
Le Président Philippe Thomas-Derevoge en présence de Jeanne Renée Pitra, Gérard Dorlé et Ray Herriett a tenu à rendre un hommage aux présidents qui se sont succédés depuis tant d'années au service de l'association et des membres. Le Vice-Président a tenu également à féliciter les équipes qui ont permis d'œuvrer pour la protection du cadre de vie et de l'environnement. A cette occasion, les adhérents et sympathisants présents ont porté un toast à la poursuite de leurs activités, alors qu'il existe encore tant de choses à faire dans ces domaines.
            Après un repas animé dans une ambiance très agréable, les convives se sont rendus en forêt domaniale de Fontainebleau pour écouter le brame du cerf, sous la conduite du Président, et avec un grand succès !
Longue vie au CDAS d'Avon !

Renée Jean-Pitra,
Présidente 1976-1977


L'accueil du Président
Thomas-Derevoge


Hommage aux
 anciens présidents
 Gérard Dorlé (au 2nd plan)
Président 1981-1988



Ray Herriett (en bleu)
Présidente 1992-1996

 Inès Champetier de Ribes
(1er plan)
 Michel Bréchemier (T) Odile Dorlé (CA)
(3 et 4èmes
en partant de la gauche)

Jean Vuaillat (SG)
Jean-Marie Virot (S)
(1 et 4 èmes
en partant de la gauche)


                                                                                  Guillaume Bricker (VP)




Création ou AG
Président (e)
Siège
14 avril 1976 (AR de dépôt)
Jeanne PITRA-ANTONY
9 rue de l’Eglise (JO du 9-05-76 p.2808)
AG 3 déc. 1977
Jean PORTEMER

AG 14 nov.1981
Gérard DORLE
51 rue R. Dumoncel   (JO du 9-01-82 )


85 rue R. Dumoncel   (JO du 26-04-83)
AG 23 avril 1988
Geneviève MARTIN

AG 25 janvier 1992
Jean-Marie SIMON

AGE 25 avril 1992
Raymonde HERRIETT



Maison dans la Vallée (xx 11-05-95)
AG 27 janvier 1996
Isabelle CLEMENT-BAYER
4 domaine des Bellingants (JO 8-5-96 )


Maison dans la Vallée

LES 30 ANS DU CDAS !

30 ans ça compte,30 ans ça se fête!
Chers amis du CDAS d'AVON, fêtons tous ensemble l'anniversaire de la création du CDAS au Chalet de la Caverne
Carrefour du Bas Bréau, en forêt, à la sortie de BARBIZON (tel.01 64 14 90 56). Rendez-vous le vendredi 29 septembre à 20 heures
pour le dîner de nos trente années d'implication au service de notre environnement et de notre cadre de vie. Réunissons-nous pour
remercier tous nos adhérents et sympathisants, ceux d'aujourd'hui et ceux d'hier, et les présidents qui nous ont précédé dans notre action:

Création ou AG

Président (e)

Siège

14 avril 1976 (AR de dépôt)

Jeanne PITRA-ANTONY

9 rue de l’Eglise (JO du 9-05-76 p.2808)

AG 3 déc. 1977

Jean PORTEMER

AG 14 nov.1981

Gérard DORLE

51 rue R. Dumoncel (JO du 9-01-82 )

85 rue R. Dumoncel (JO du 26-04-83)

AG 23 avril 1988

Geneviève MARTIN

AG 25 janvier 1992

Jean-Marie SIMON

AGE 25 avril 1992

Raymonde HERRIETT

Maison dans la Vallée (xx 11-05-95)

AG 27 janvier 1996

Isabelle CLEMENT-BAYER

4 domaine des Bellingants (JO 8-5-96 )

Maison dans la Vallée

Dîner suivi d'une sortie en forêt pour entendre le brâme des cerfs (facultatif)
Participation au repas 17€/personne, pour les adhérents ou les invités, boissons offertes par le CDAS d'AVON
réservations avant le 25 septembre auprès de votre président
(Précisez si vous souhaitez un co-voiturage, nous pourrons passer vous prendre à votre domicile)
Philippe Thomas-Derevoge
69 bis avenue Franklin Roosevelt
77210 AVON
tel : 01 60 71 18 49