13 mars 2014

LES 15 QUESTIONS DU CDAS ET LES RÉPONSES DES 5 CANDIDATS À LA MAIRIE.




LES 15 QUESTIONS DU CDAS ET LES RÉPONSES DES 5 CANDIDATS À LA MAIRIE.


Questions
du CDAS
Réponses
D. BANDINI
Réponses
L.KORT
Réponse
J.P. LE POULAIN
Réponses
M-C. NOUHAUD
Réponses
B. RUCHETON
1.             ECONOMIE ET EMPLOI.
1.1.          Avez-vous un plan en faveur de l’implantation d’entreprises et du développement de l’emploi local ?

Cette question est fondamentale, pour inverser la tendance actuelle qui nous pousse vers le statut de ville dortoir. La ZAC de Changis, à 40 minutes de Paris, est un atout central pour une politique en faveur de l’emploi local. Mais aussi il faudra compenser les départs d’entreprises malheureuse- ment déjà programmés sur Valvins, ou les dissuader si c’est encore possible. Là comme ailleurs dans notre ville, nous devrons valoriser nos vocations légitimes, qui sont le tourisme, les sports de la nature, la culture et l’enseignement, les métiers de la filière bois et des arts décoratifs, et aussi tous ceux du tertiaire que notre environnement  intéresse. Enfin nous soutiendrons les entreprises existantes par différentes actions dont un salon des métiers locaux, organisé chaque année, pour favoriser les liens avec la population, dont celui de l’emploi.

Le développement économique et l’emploi ont souffert depuis plusieurs années de la mésentente des maires de Fontainebleau et d’Avon et de l’incompétence du président actuel de la communauté de communes d’élaborer un plan économique et de l’emploi. Nous demandons à ce que la nouvelle direction de la CCPF mette immédiatement en place une structure avec à sa tête une direction compétente dans ce domaine.
Cette structure doit travailler avec la CCI, la Chambre de l’Industrie et les commerçants locaux.
L’amélioration du cadre de vie (transport, hôtellerie, fibre optique, etc) doit être un élément d’attractivité pour ces nouvelles entreprises.
Les terrains du Bréau doivent faire l’objet d’une procédure pour l’accueil d’entreprises.
Pour conclure, la redéfinition d’un pôle universitaire dans l’agglomération permettrait une liaison plus favorable avec la venue d’entreprises notamment dans les nouvelles technologies.

Ces questions ont déjà été abordées, depuis plusieurs années, auprès de tous les Avonnais dans le cadre de l'élaboration de notre Agenda 21.
Quinze réunions publiques y ont été consacrées et plus d'une centaine d'Avonnais y ont répondu dans le cadre de notre politique de démocratie contributive.

Les outils réglementaires en faveur de l’emploi local sont  quasi inexistants. Nous croyons  au potentiel touristique de nos deux villes, trop peu exploité.  A Avon, le quartier de la gare  est l’entrée de ville de Fontainebleau aussi, il faut se servir de l’opportunité des terrains en friche pour développer l’accueil touristique.

OUI :
- en incitant l’implantation  de bureaux dans les locaux vacants.
- en favorisant la création d’emplois, la formation professionnelle sur les zones de développement de projets telle que la ZAC des Yèbles de Changis.
- en veillant à ce que la fiscalité soit attractive pour les entreprises.

1.2.      
Croyez-vous que le tourisme vert puisse constituer légiti-mement une vocation pour la ville et comment l’encourager ?


Comment ne pas le penser, quand on est au centre d’une forêt d’exception. Mais c’est un projet qui suppose une démarche prudente, respectueuse de la nature, avec une orientation prioritairement éducative. Notre vocation est de devenir le pôle national du tourisme vert écologique.
C’est une question que nous avons toujours soulevée. Force est de constater là encore l’incompétence des maires sortants. Le tourisme vert doit être développé : en liaison avec le syndicat d’initiative et l’ONF. L’environnement exceptionnel, bords de Seine – forêt, doit permettre une évolution rapide de ce tourisme vert : développement de la formation (rôle du syndicat d’initiative dont l’organisation et les buts sont à revoir) , développement de structures d’accueil (hôtellerie, chambres d’hôtes, auberges de jeunesse, …), développement d’activités sportives (escalade, aviron, VTT, etc), développement des activités pédagogiques liées à la connaissance de l’environnement. Je le rappelle, ce domaine est de la compétence du syndicat d’initiative qui doit absolument redéfinir sa politique dans le sens du tourisme vert.
Cet organisme doit être plus visible dans l’agglomération : présence à la gare, en centre ville, …

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui il faut l’encourager par des équipements (auberge de jeunesse,  camping) et par une politique de promotion touristique communautaire.

OUI :
-  en proposant une offre alternative de transports avec des véhicules économes comme les minibus et les vélos à assistance électrique (VAE), des outils internet de covoiturage.

1.3.          Quel jugement portez-vous sur le départ de Valvins de quatre écoles d’enseignement supérieur au cours des 5 dernières années et comment relancer notre vocation de pôle d’enseignement ?

C’est le constat d’un échec lié à une indifférence totale de la majorité sortante. La formation supérieure, à condition de l’intégrer dans un cadre apaisé et valorisé, comme à Heidelberg en Allemagne ou à Cambridge et Oxford en Angleterre, demeure un axe possible de notre développement.
C’est un scandale que nous avons immédiatement dénoncé, car ce départ est fortement préjudiciable à la vocation universitaire de l’agglomération. En son temps, j’ai déploré que le maire d’Avon n’ait pas cru devoir intervenir pour le maintien de ces établissements.
La mairie n’a pas rempli son rôle notamment en matière de transport entre la gare et ces établissements.
Relancer le pôle d’enseignement c’est dans un premier temps mettre en valeur les atouts environnementaux, les accès facile vers la capitale et la future disponibilité que mon équipe et moi-même comptons avoir dans ce domaine.
L’attractivité de la ville passe également par des structures culturelles. La ville doit se doter en urgence d’une bibliothèque digne d’une ville de 14.000 habitants.
L’agglomération doit se doter d’une médiathèque offrant tous les services modernes d’investigation littéraire et scientifique.













Même réponse qu’à la question 1.1.

Cela ne sera possible qu’avec des infrastructures à la hauteur en terme de transport en commun, de très haut débit, d’hôtellerie ; cela suppose du temps, des investissements importants, et surtout une grande coopération communautaire là encore.

REGRETTABLE !
- Proposons un pôle d’excellence d’activités innovantes autour du développement durable ou du numérique…

1.4.         
Prévoyez-vous des mesures en faveur des  commerces de proximité et excluez-vous l’implantation ou l’extension des grandes surfaces ? Quelles mesures ?

C’est indispensable, pour animer nos quartiers et préserver des emplois de qualité. Les grandes surfaces qui entrent en concurrence avec ce qui reste du commerce de centre ville devront être exclues des projets d’implantation qui se présenteront. Nous nous appuierons sur la SEM du Pays de Fontainebleau pour racheter les murs de certains commerces en grande difficulté afin de proposer des loyers plus abordables. Nous userons du droit de préemption pour ne pas voir des commerces devenir de nouveaux locaux d’habitation.

Face à la rude concurrence de la grande distribution, le commerce de proximité subit les effets de la crise économique, de la mobilité des habitants, des plans incohérents de circulation et de parking et de l’insécurité. La politique d’abandon du Maire aggrave cette situation. Conscients de l’urgence et du rôle essentiel de lien social du commerce local, La GAUCHE POUR AVON créera les conditions d’un réel dialogue avec les parties concernées : associations de commerçants, chambre de commerce, opérateur public, gestionnaire des Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce. Nous mettrons en place une politique de préemption de locaux commerciaux vides.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Il y a assez de  grandes surfaces sur Avon et Fontainebleau. Je m’opposerai à l’arrivée de nouvelles. Pour le commerce de proximité, la préemption est un miroir aux alouettes de moins en moins utilisé car coûteux et ne permettant pas de faire venir des commerces, simplement d’empêcher des transformations des locaux commerciaux en logements.   Il faut plutôt faire venir un marché dans le vieil Avon pour  dynamiser les commerces de la rue R.Dumoncel, et rendre la ville plus attractive, par des semaines commerciales, des événements culturels ou festifs qui font venir du monde.


OUI :
                - en utilisant tous les moyens juridiques et administratifs pour développer des commerces de qualité et innovants (boutiques éphémères, commerces partagés) ;
- en  favorisant la réhabilitation des Centres commerciaux existants ;
- en rendant visible les commerces par une signalétique adaptée et une stratégie de communication via le site de la ville, de manifestations et d’informations ciblées.
2.
URBANISME ET TRANSPORTS.
2.1.      
Remettrez-vous en cause la densification urbaine prévue au Plan Local d’Urbanisme ? Comment ?



C’est un impératif, pour préserver et améliorer le cadre de vie des habitants, ce qui est au cœur de nos préoccupations.
La densification urbaine nécessaire pour redynamiser l’activité économique et renforcer la mixité sociale ne peut se concevoir qu’après l’étude de plusieurs paramètres : le transport, la circulation, l’accueil petite-enfance et la capacité d’accueil dans les établissements scolaires. Le PLU doit donc être réétudié en prenant en compte tous ces critères, éléments essentiels du cadre de vie de nos concitoyens.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui, car la situation particulière d’Avon, au milieu de la forêt, exige une dérogation au principe de densification de plus en plus souvent voulu par l’Etat.  Notre environnement est fragile, la densification  excessive est une menace.  Comment ? en modifiant le PLU.


En contrôlant tout nouveau pro-gramme immobilier, tout en favo-risant l’accession à la propriété.
Le « HALTE AU BÉTON » tant clamé par le Maire sortant doit enfin devenir une réalité. Notre objectif est par ailleurs d’empêcher qu’Avon ne devienne une ville dortoir, ce qui implique de s’assurer que le nécessaire est fait pour créer des emplois en proportion de la création de logements.

2.2.      
Agirez-vous pour que soient revues à la baisse les hauteurs constructibles, les coefficients d’occupation des sols, les emprises au sol, pour limiter la densification ?

Pour cela nous devrons obtenir une révision du PLU, qui est de la compétence de la CCPF. Mais avant même cette révision nous imposerons une architecture respectueuse du cadre existant, donc revue à la baisse pour tous ces paramètres, en particulier pour la ZAC de Changis.
Le SDRIF prévoit une densification autour des gares notamment. Le SDRIF prévoit la préservation des terres agricoles et le renforcement de l’urbanisation dans les villes.
Dans le cadre de la CCPF, le nouvel apport d’habitants doit pouvoir se faire d’une manière équilibrée dans chaque agglomération. Ex : les logements sociaux tant nécessaires (70% des franciliens relèvent des logements sociaux) doivent pouvoir trouver leur place d’une manière équilibrée dans chaque commune. Cela évitera une trop forte densification dans les deux villes importante dans la communauté de Com.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui.


          Nous veillerons particulièrement à la question de la hauteur des bâtiments afin que les nouveaux programmes créés s’intègrent le mieux possible à l’existant.
2.3.      
Quelles dispositions prendrez-vous pour mieux protéger le bâti ancien de caractère ?


Là aussi, il faudra un inventaire complet des constructions remarquables, et nous en avons beaucoup, à Avon. Mais aussi des constructions plus modestes sont dignes d’intérêt, parce qu’elles caractérisent notre cadre de vie. Pour celles-ci il faudra favoriser la rénovation, plutôt que la destruction. C’est dans ce sens que nous lutterons aussi pour réduire le parc de logements inoccupés en favorisant leur remise en état et leur occupation.
Une commission municipale devra définir les éléments du bâti ancien qu’il faudrait protéger afin qu’Avon garde son caractère spécifique.

Même réponse qu’à la question 1.1.

On commencera par un inventaire

-  En ayant sur le site de la ville toutes les informations pour faciliter les choix des propriétaires, locataires ou entrepreneurs.
- En étant vigilant sur toutes les transformations de façades.
- En s’appuyant sur les services techniques et le Comité de Défense.
2.4.      
Croyez-vous que la ZAC de la gare (ou de Changis) doive faire l’objet d’une concer-tation plus réelle avec la population et que le projet puisse être légi-timement repensé ?

Nous sommes face à une opportunité exceptionnelle, 25 000 m² autour de la gare, un site stratégique s’il en est. Comment accepter que ce programme soit lancé sans réflexion suffisante, sans une vraie démarche participative, avec les habitants, les associations et autre parties prenantes. La démarche actuelle est un abominable gâchis qu’il faut impérativement interrompre.
Il faut assurer une bonne gouvernance et la participation des parties prenantes. Associer les habitants, ceux des quartiers voisins et l’ensemble de la population à une réelle concertation en évitant toute politique et récupération politiciennes.
(voir notre document)

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui,
nous l’exposerons en détail dans notre programme.
OUI :
- le projet de la ZAC doit être totalement repensé en favorisant l’installation d’entreprises créatrices d’emplois et de services : centre d’affaires, pôle d’excellence numérique ou environnemental, hôtel, commerces, crèche à horaires flexibles…
2.5.      
Prévoyez-vous des mesures pour apaiser le trafic automobile et favoriser les circulations douces et les transports en commun ?


Elles sont impératives, et déjà il faut mieux faire respecter le code de la route et la réglementation. Nous agirons dans ce sens. Le vélo est une solution idéale à nos problèmes de circulation. Donnons-lui la place qu’il mérite. Quant aux transports en commun, il faut revoir leur service pour mieux répondre aux besoins, aux heures pleines comme aux heures creuses. Une réflexion sera lancée tant sur les horaires, les tracés et le coût pour les usagers.
Circulation douce, un exemple : transformation de la route de la Bonne Dame en piste cyclable de la gare à la Plaine de la Chambre (dans un premier temps le week-end avec aménagement pour les riverains), développement de voies cyclables.
Réétude totale du transport en commun dans l’agglomération : nouvelles lignes – emploi de minibus – révision des fréquences et coûts allant jusqu’à la gratuité.
Une proposition : ramassage des ordures hippomobile – très grand succès dans les villes qui ont adopté ce principe – transport hippomobile réguliers dans le parc du château entre l’église d’Avon et la poste de Fontainebleau. Des associations peuvent monter de tels projets

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui,  mais sachant que cela ne peut être que communautaire, donc demander un temps long de concertation en commun.

Il faut revoir les trajets de circulation des transports et leur cadencement. Mise en place d’une « Avoline » pour relier les quartiers non desservis, pour découvrir et circuler dans Avon.

2.6.      
Peut-on améliorer les conditions d’accès et de circulation des personnes à mobilité réduite ?


Nous dénonçons les aberrations des travaux les plus récents qui sont non conformes, nous les corrigerons, ce sera un objectif prioritaire. Le passage sous-terrain de la gare est lui-même un scandale qui ne peut plus durer. Puis nous agirons sur l’ensemble de la ville. De nombreuses situations auraient pu être améliorées avec les sommes dépensées pour la Place Carnot.

C’est l’un des premiers devoirs de la nouvelle municipalité.
 Tous les commerces ne sont pas accessibles au PMR, faire en sorte qu’une navette accessible aux PMR puisse transporter ces personnes (l’équivalent du PAM77 qui n’est destiné qu’aux personnes âgées). Cela peut se travailler avec le Conseil Général ou la Région.
Nous sommes dans une ville vallonnée et il est très difficile de se déplacer en fauteuil roulant.


Même réponse qu’à la question 1.1.

C’est un engagement de notre programme que de rendre tous les espaces et lieux publics accessibles sur le mandat, quitte à limiter d’autres travaux.

OUI :
- en développant l’acces-sibilité partout et pour tous dans les établissements municipaux ;
- mise en place d’un cheminement lisible pour tous.

2.7.         
Comment peut-on résoudre le problème du stationnement des voitures sur les quartiers saturés ?



Nous avons à la fois un problème d’offre insuffisante et aussi celui d’une tarification dissuasive des parkings existants. Nous devrons renégocier à la baisse le tarif de la gare, aménager un parking à la journée et à tarif réduit, à Valvins, pour le tourisme ou les usagers de la gare, avec une navette. Au niveau de l’agglomération nous plaiderons en faveur de parkings périphériques pour réduire la circulation automobile dans le centre de l’agglomération. Enfin, nous rouvrirons le parking de la Maison dans la Vallée.
Toute nouvelle construction doit prévoir un nombre de parkings privés pour les voitures.
Nous le répétons, il faut développer les transports en communs, les circulations douces…

Même réponse qu’à la question 1.1.

Les parkings attirent les voitures, c’est prouvé, et plus on crée de places, plus on a de voitures. La seule solution efficace est le développement de transports en commun plus performants. Mais ce sera long et coûteux, il faut l’accepter.

- En réfléchissant à une solution pour un parking en périphérie avec une navette dans le cadre de l’intercommunalité pour la gare.







3.   ENVIRONNEMENT.
3.1.         
Protégerez-vous les espaces verts, et en particulier les arbres, sur l’agglomération ? Comment ? 


La nature est l’une de nos principales richesses, en particulier à Avon. En revoyant la densification à la baisse, nous préserverons des espaces verts. Mais aussi nous dresserons un inventaire des arbres et jardins à protéger par une réglementation spécifique. Lors du dernier conseil municipal du mandat qui s’achève, la liste Avon Autrement a été la seule à s’opposer au projet de médiathèque en dénonçant à la fois la remise en cause du legs de la famille Dommange et le sort réservé aux arbres du parc puisque 26 seront abattus.

L’urbanisme que nous concevons doit concilier en effet deux éléments essentiels : le logement pour tous et l’aspect environ-nemental. Cela fait partie d’un chapitre de programme que nous appelons : URBANISME ET SANTE.
Tout projet doit éviter l’apparition de nouvelles pathologies dues au stress, au bruit, aux pollutions, aux ondes.
Les espaces verts à protéger font partie des éléments nécessaires à la vie de l’homme.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui, sauf si un intérêt général l’emporte ; chaque arbre coupé sera remplacé par un autre.

OUI :
- demande de classement pour des arbres remarquables ;
- en adoptant une gestion différenciée des espaces verts ;
- en choisissant un fleuris-sement plus respectueux de l’environnement.
3.2.         
Pensez-vous qu’il faille mieux appliquer la réglementation locale des publicités et enseignes pour réduire les agressions visuelles qu’elles nous font subir ?


Nous sommes bien sûr en faveur d’une publicité raisonnée, et contre les affichages agressifs et laids. Le règlement actuel est déjà restrictif, mais il n’est pas appliqué. Commençons par le faire respecter. Il faudra aussi revoir à la baisse le nombre des sucettes qui ont poussé un peu partout, surtout pour faire la publicité du maire sortant. Ces sucettes ont d’ailleurs parfois été installées à des endroits très dangereux pour la circulation automobile car elles empêchent une bonne visibilité à certains carrefours.
Oui, dans le cadre de l’application stricte du règlement actuel qui doit absolument être revu pour être plus restrictif.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Oui


Avon a adopté une telle réglementation. Il suffit de la faire appliquer.

3.3.          Êtes-vous favorable au projet de parc national pour la forêt et excluez-vous toute possibilité de nouvelles constructions, voies de circulation, exploitation de carrières ou autres gisements sur le périmètre de la forêt domaniale ?

Un parc national oui, mais prudemment, dans une optique de meilleure protection de la nature, sur l’ensemble du périmètre forestier domanial. Nous ne nous satisferons pas d’une approche limitée à un espace réduit, ce qui est à craindre. Bien entendu nous rejetons les articles du SCOT permettant de rogner encore plus les espaces naturels au profit de la circulation, des installations économiques ou sportives… C’est une honte !
Les espaces verts à protéger font partie des éléments nécessaires à la vie de l’homme.

Même réponse qu’à la question 1.1.

Le sujet de parc national est complexe et je voudrais avoir plus d’éléments pour trancher. Il faut creuser à fond ce type de question.   Sans aller jusque-là tout de suite, il faut bien sûr empêcher tout ce que votre question mentionne car la forêt est notre plus grand atout.

Pourquoi pas si cela améliore la qualité de vie pour les différents usagers de la forêt. Toutefois, est-ce bien réaliste : notre forêt est déjà traversée par plusieurs routes, une autoroute, est déjà très fréquentée et la circulation pose des problèmes récurrents ?